Le SHIATSU,
l'art du "bien-être"
Le SHIATSU n'est pas une médecine au sens occidental du terme, mais plustôt une "avant médecine", une discipline d'hygiène naturelle, une forme d'acuponcture manuelle (donc sans aiguilles), agissant sur le physique et le psychisme.

En 1955, le Ministère japonais de la Santé a reconnu officiellement le shiatsu comme médecine à part entière et, en mai 1997, la Commission européenne l'identifiait comme une des huit méthodes de médecine complémentaire reconnues dans ses quinze états membres (Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, France, Finlande, Grèce, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni, Suède). Au Canada, seuls l'Ontario et la Colombie-Britannique lui accordent une reconnaissance légale. Toutefois, la formation et la pratique sont contrôlées par diverses associations professionnelles, dont la Canadian Shiatsu Society, la Fédération québécoise des massothérapeutes et l'Alliance canadienne des massothérapeutes, pour n'en nommer que quelques-unes.
Définition officielle du Ministère japonais de la santé : "Forme de manipulation exercée à l'aide des pouces, des doigts et des paumes, sans recours à aucun instrument mécanique ou autre, par application d'une pression au niveau de l'épiderme, afin de corriger les dysfonctionnements internes, d'améliorer et de préserver la santé et de traiter des maladies spécifiques" .

En 1970, le Shiatsu apparaît en France grâce à des Maîtres japonais (Kawada, Kagotani, Tokuda, Izumo, Namikoschi...) Des personnalités comme W. Ohashi et Shizotu Masunaga ont aussi contribué grâce à des stages au développement du Shiatsu.

 

Le SHIATSU tend à prévenir les maladies
en stimulant les défenses naturelles.